mercredi 29 novembre 2017

Chut, Médias et politiques, Un KRACH monétaire devient inévitable.


Il a beaucoup d'orgueil, veut faire parler de lui.
Sa disgrâce s'annonce avec tous ces ennuis.
Contraint à des réformes, bien que fort décousues,
Imposées par Bruxelles, c'est sa grande déconvenue.

Toutes ses désillusions et ses résignations,
Elles exaspèrent le peuple bercé dans l'illusion.
Un KRACH monétaire devient inévitable.
Médias et politiques, pour eux, c'est improbable !.
Alain Février, 30 novembre 2017

Lundi 13 octobre 2008

L'Europe est le plus grand casino du monde, des milles milliards..!

1700 milliards arrosent désormais les banques européennes dont 360 milliards pour nos seules banques françaises qui, il y a quelques jours encore, elles n'avaient pas de problèmes de liquidités, selon Bercy ?.

Les spéculateurs applaudissent et se frottent les mains jusqu'au prochain krach financier ?.

Nous, citoyens français et européens, nous subissons déjà la chute de notre pouvoir d'achat et la récession économique. Nous allons nous enfoncer dans le chômage, le surendettement des ménages, défaillances de remboursement des prêts immobiliers Et, si par malheur, ce gigantesque montage financier échouait ...?.

Une loi de finances qui pèsera lourdement sur les épaules des contribuables et sur les générations futures pendant des dizaines d'années. Est-ce bien raisonnable ?. Et si on relisait Monsieur Maurice ALLAIS en cette période de krach financier.

Tous ceux qui sont intéressés par l'avenir de notre pays et celui du monde.

Maurice Allais, éminent défenseur de l'économie mathématique, Professeur d'économie générale à l'E.N.S des mines de Paris, auteur de très nombreux articles et études sur la simplification de la fiscalité... Nos dirigeants politiques seraient bien intentionnés de relire les nombreux traités de ce visionnaire émérite en matière d'économie politique, particulièrement « A la recherche d'une discipline économique – Abondance ou misère – Economie et intérêt – L'Europe unie, route de la prospérité ».

Herald Tribune, 19 octobre 1988, traduction :
« Les recherches de Mr ALLAIS concernant les monopoles d'État sont toujours valables, malgré la tendance actuelle de privatisations, notamment en France et en Grande Bretagne »...

En 1947, il publie « Économie et intérêt » (réédité en 1998 par les éditions Clément-Juglar) livre qui traite du problème de l'intérêt. Il n'y perd jamais de vue les deux faces inséparables de l'intérêt : le montant qu'un prêteur doit recevoir pour renoncer à la liquidité que lui procure la monnaie, le prix que prennent en compte investisseurs et épargnants pour déterminer leur demande et leur offre de capital.

Il considère que la planification économique peut également être un élément conduisant à une situation d'équilibre et d'efficacité maximale. De même, il prend conscience dans les années 1966-1967, au regard de l'observation empirique de l'économie, des limites de l'hypothèse de l'équilibre général. Pour les dépasser, il a recours à la notion de surplus et est d'ailleurs à l'origine de la théorie générale des surplus.

Ses idées, notamment sur la croissance, ont souvent été reprises par d'autres. Ainsi, il a introduit la « Règle d'or » attribuée à Phelps, qui postule que le taux d'intérêt réel le plus favorable est celui qui se rapproche le plus du taux de croissance. Il a également démontré l'existence d'une situation de « maximum maximorum » assurant l'existence d'un revenu réel maximum par habitant pour un régime permanent de croissance. Dans son ouvrage « Économie et intérêt », il a introduit la notion de prise en compte des générations futures dans la détermination de l'optimum économique. Enfin, il a apporté sa contribution à la théorie du risque en analysant le comportement des agents économiques ayant à choisir entre différents risques. Un des exemples qu'il utilise est resté célèbre sous le nom de « paradoxe d'Allais ». Il montre que le choix rationnel n'est pas forcément celui qui offre la plus forte probabilité de gain, car le choix tient compte des comportements des autres agents économiques.

Il a aussi défendu l'idée que « l'indexation générale de toutes les dettes en valeur réelle » est une condition de l'équité mais aussi de l'efficacité. Ce n'est que si le prêteur est assuré de ne pas être spolié par l'inflation et donc de retrouver la valeur réelle de son capital que les taux d'intérêts seront faibles.

Maurice Allais pense, par ailleurs, que l'exubérance des marchés financiers est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une vigoureuse réforme du système bancaire, la crise financière est certaine (1999). A la fin de sa vie, il milite contre la mondialisation
des échanges et il s'est opposé au traité constitutionnel en 2005.
Source « Présentation de Maurice ALLAIS. ( Né en France en 1911, Prix NOBEL 1988 ».


Il y a 50 ans, le Général disait :

«En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer.» Charles de Gaulle 
Google : Blogspot : Le temps s'arrête pour celui qui admire...

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