Fin
de l'an deux mille seize, parapluie se referme
Sur
les forces de l'Esprit. Le président s'en va.
Socialistes,
libéraux, partis touchent à leur terme.
L'ingérence
de la France agace nombre d'États.
L'année
deux mille dix-sept sera celle du rebond
Si
le peuple de France rejette ces carriéristes.
Il
faut remettre de l'ordre sans sortir de ses gonds.
Retrouvons
notre France, son bon sens réaliste.
La
France des humiliés, la France des oubliés,
Ils
sont tellement nombreux tous ses désespérés.
Ils
implorent avec force d'être considérés.
Vous
voulez tout changer, alors aller voter !.
Observer
une brebis qui souffre des sabots,
Si
elle n'est pas soignée, elle se laisse mourir.
Oser
cette antithèse, railler ces collabos,
Ils
manquent de dignité, ont plaisir à en rire.
La
France n'est plus Nation, sans sa souveraineté.
Un
État sous tutelle et sans planche à billets,
Choisir
sa destinée, La France en est privée.
Ce
projet est bancal, sous le joug d'un maillet.
Conseillers,
consultants, tous ses parlementaires,
Occupent
leur ordinaire de problèmes secondaires.
Ne
leurs en voulez pas, ils n'ont rien d'autre à faire.
Leurs
traités les engagent. Ils sont priés de se taire.
Un
vœu pour notre France, qu'elle redevienne Nation ;
Qu'elle
décide par elle-même ce qui est bon pour elle.
Elle
n'a plus d'autres choix. C'est l'ultime solution.
Refusons
par les urnes le diktat de Bruxelles.
La
tradition m'oblige à vous dire Bonne Année.
Je
vous souhaite le bonheur qui vous est mérité.
Mes
pensées vont d'abord à nos déshérités,
Aux
chômeurs désœuvrés, aux pauvres retraités,
Aux
hospitalisés, à ces déracinés,
Je
leur adresse mes vœux pour une meilleure année.
Alain
Février, samedi 31 décembre 2016
Entre
nous, soyons francs, je vous laisse méditer
Deux
courtes citations pour cette nouvelle année :
«
Si la foule déteste quelqu'un, examinez
avant de juger »
Confucius
«
Deviens
ce que tu es. Fais ce que toi seul peut faire
»
Friedrich
Nietzsche
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