Programme
Marine Le PEN ne serait pas crédible,
Pourquoi
me direz-vous, la faute à ces médias ?.
Ils
raisonnent en euro. Ils sont incorrigibles.
La
valeur de l'euro paralyse les États.
Euro
sous-évalué par rapport au dollar
Sauf
pour le Portugal ou même la Slovénie.
La
France en a souffert, se réveille sur le tard.
Plus
de planche à billets, finances à l'agonie.
Programme
«Au Nom du Peuple», il est le plus crédible.
Il
a été pensé pour un retour au franc.
Euro
égale un franc, tout ceci est possible,
Une
monnaie nationale pour reprendre son rang,
C'est
la seule solution pour une nouvelle croissance.
Même
valeur de l'euro dans dix-sept États membres,
Elle
est à l'origine d'une violente concurrence.
L'Europe
du moins-disant, c'est facile à comprendre.
Cette
monnaie unique conduit à la faillite.
L'Allemagne,
le Luxembourg, les États les plus riches
Ce
sont les fossoyeurs de la France, l'Italie,
Beaucoup
d'autres pays sont victimes de cette triche.
Qui
sont-ils ces voyous, ces financiers cyniques ?.
États
ou actionnaires de fonds anglo-saxons
Ils
sont les responsables de cette fin tragique.
Ces
politiques coupables méritent une grosse sanction.
Souvenirs
deux mille cinq et Versailles deux mille huit,
Parlementaires
Français ont trahi le scrutin.
Le
vote des électeurs a été éconduit.
Ils
sont les responsables de la France du déclin.
Changer
le résultat d'un vote majoritaire,
Ce
n'est pas tolérable dans une démocratie.
Ils
ont tué la confiance, l'électeur doit se taire.
Il
n'a pas d'autre choix, l'Europe monocratie.
Alain
Février, vendredi 31 mars 2017
Au
"défunt" Front Républicain, aux partis politiques passés
et présents qui ont conduit la France au chaos, voilà un extrait (2013),
très clair, du programme du Front National sur "l'avenir"
de votre Europe.
Analyse
«
L’Europe
sans les peuples
La
construction européenne a souffert dès sa naissance « d’un
déficit démocratique ». Dans le but initial de la mettre à
l’abri de tout aléa politique pour dégager un intérêt commun
européen, la Commission, organe non élu, procure aux technocrates
des pouvoirs considérables ainsi que le monopole de l’initiative
législative. 80 % au moins des lois et règlements nationaux
d’importance ne sont que la transposition de ses normes et
directives. Le même despotisme éclairé est appliqué à la Banque
Centrale Européenne, dont les décisions monétaires s’imposent
aux pays de la zone euro, qui sont devenus, au mieux, unijambistes en
matière de politique économique.
L’élection
des députés européens au suffrage universel n’a que très
faiblement pallié ce manque de démocratie. Ce parlement reste, face
à la Commission, doté de faibles pouvoirs. Le traité de Lisbonne a
bien créé un droit de pétition à la condition de rassembler un
million de signatures, mais la Commission dispose du droit
discrétionnaire de prendre ou non en compte leur requête…
L’Europe
contre les peuples
La
CECA a, in fine, tué la sidérurgie européenne. La politique
agricole commune (PAC) a marginalisé l’agriculture européenne.
L’euro et l’ouverture des frontières à une concurrence
déloyale ont détruit des millions d’emplois industriels,
spécialement en France.
La BCE a un objectif de lutte contre l’inflation, mais aucun
objectif de plein emploi.
Dès lors, les gouvernements ont tenté vainement de maintenir le
niveau de vie en ayant recours à un endettement massif.
Mais
l’interdiction faite aux Etats de se financer auprès de leurs
banques centrales a rendu cet endettement coûteux. En
France, la charge de la dette sera
comparable cette année au budget de l’éducation nationale. La
BCE n’a pas le droit de prêter aux
Etats, mais elle prête à un taux dérisoire, aux banques, qui
re prêtent, beaucoup plus cher, aux Etats!
L’Union
européenne, asservie par sa dette et par l’euro, est un instrument
au service d’une idéologie ultra-libérale mondialiste et des
intérêts du secteur financier. Celui-ci
voit la crise comme une formidable occasion de poursuivre à marches
forcées la dissolution des nations dans un fédéralisme qui
remettra entre les mains d’experts non élus le destin des peuples
et donnera aux institutions des ressources suffisantes pour mettre en
place un clientélisme.
Alors
que les vices de l’euro avaient été dénoncés et son échec
annoncé dès avant sa naissance non seulement par le Front National
mais par les meilleurs économistes, dont les Prix Nobel Milton
Friedman et Maurice Allais, les
européistes pensent tirer prétexte de cet échec, qui est leur
échec, pour une intégration économique et budgétaire de la zone
euro : comme
toujours, l’échec d’une politique européenne doit être traité
par plus de fédéralisme européen, comme les médecins de Molière
traitaient l’anémie de leurs patients par une bonne saignée…
Politiques
de tous bord, libéraux, anarchistes,
Ils
quittent leurs partis par Culte de la raison.
Cette
reconstitution d'un groupe d'hébertistes,
Agite
" Le Père Duchesne " réveillé par Macron.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire