Optimiste
sans raison dans un monde d'affairistes,
Voyage
sentimental en période estivale,
Laissons
nos déceptions au vestiaire des artistes.
Soyons "l'original", plus de cérémonial.
Alain Février, samedi 24 juin 2017
«
Les hommes d'Etat vivent au jour le jour, tous les événements les
surprennent, et les problèmes qu'ils s'efforcent de résoudre sont
ceux de la veille ou de l'avant-veille, qu'ils n'ont d'ailleurs pas
encore compris » extrait de « Une rose au paradis »
de René Barjavel
"...Attention,
je ne suis pas en train de prôner le dévergondage sexuel.
L'actuelle « libéralisation » des mœurs dont est victime notre
jeunesse me paraît désastreuse. Coucher avec les copains ou les
copines comme on boit un Coca-Cola, c'est là, justement, assouvir un
besoin ou obéir à un instinct, comme on assouvit sa soif ou sa
faim. Non seulement l'amour n'est pas présent, mais le désir non
plus. Et même pas la liberté, car ces rencontres sont le plus
souvent le fruit de décisions rapides, du «
je-veux-faire-comme-les-autres », des circonstances, du hasard, et
bien rarement d'un choix. Il ne peut rien en résulter de bon. On
enseigne aux lycéens et lycéennes le fonctionnement de leur corps,
mais non son usage, ni le respect de celui des autres. Que
penserait-on d'un enseignement de la musique où l'on se bornerait à
démonter le piano pour en montrer les marteaux et les cordes, en
laissant ensuite la « liberté » à chacun et chacune de taper à
coups de poing sur les touches ? Est-ce ainsi qu'on espérerait faire
naître le bonheur de la musique ? "
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