Lundi,
le trois juillet, Versailles m'était conté !.
La
symbolique des mots doivent être démystifiés.
Michelet
ressuscité au Congrès versaillais
«...
Solidaire de tout, tout est mêlé à tout ».
Le
président Macron, pour son premier essai,
Il
est juge et partie, véritable mange tout.
Ses
envolées lyriques pimentent sa rhétorique.
Jupiter
impérieux englobe le monde entier.
Sa
longue intervention, ses élans pathétiques,
Sa
symbolique des mots doivent être démystifiés.
Réduction
d'effectifs chez les parlementaires,
Suscite
des remarques semblent-elles infondées.
Représentant
du peuple est loin d'être exemplaire,
À
cette présidentielle, Sept millions d'oubliés.
Aujourd'hui
à Versailles, chef du gouvernement
Dévoile
ses intentions, conception et méthode.
C.S.G.
augmentée administrativement.
Base
1.200 euros, taux fixe, c'est bien commode.
En
marche vers l'injustice pour les petites retraites,
Taxer
le petit peuple pour leurs erreurs passées,
Tous
ces parlementaires s'occupent de leur binette.
Cette
justice sociale appartient au passé.
Alain
Février, mardi 4 juillet 2017
Loi
constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation
des institutions de la Ve République publiée au Journal Officiel du
24 juillet 2008 [sur le site Légifrance]
Congrès
du Parlement
Le
texte voté par les deux assemblées du Parlement en termes
identiques ne deviendra définitif, conformément à l'article 89
de la Constitution, qu'après avoir été approuvé par
référendum ou par la réunion du Parlement en Congrès
Décret n° du 17 juillet 2008 tendant à soumettre un projet de loi constitutionnelle au Parlement réuni en Congrès Séance publique du Congrès du Parlement réuni à Versailles
séance
du lundi 21 juillet 2008 compte rendu analytique - compte rendu
intégral
Projet de loi
constitutionnelle de modernisation des institutions de la Ve
République, adopté par le Congrès du Parlement le 21 juillet
2008
Le
référendum du 28
septembre 1958
avait permis au Général
de Gaulle
de valider la
nouvelle Constitution de la Vème République, le 4 octobre 1958.
50
ans plus tard,
(par exemple le
dimanche 28 septembre 2008),
pourquoi
le peuple français ne mériterait-il pas, lui aussi, d'être
consulté par référendum sur la réforme des Institutions ?.
2005
: Les Français
avaient
refusé à
près
de 55%
cette
EUROPE
imposée
par
les partis politiques installés !. En
2008, à
Versailles,
les
politiques UMPS
ont
bafoué le résultat de ce dernier référendum de 2005.
|
La déroute droite et gauche, elle ne fait aucun doute.
Cette cuisante défaite fait le jeu de Bruxelles
En Marche vers des Lumières, patriotes les redoutent.
Elles éclairent les banquiers, les Juncker et Merkel
Politique moribonde d'une France sous tutelle,
La grande immigration, défi d'une vieille Europe,
Partis traditionnels, ils rangent leurs écuelles.
Les soupes républicaines disparaissent des échoppes.
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