Mercredi
4 septembre 2013
Sauvons,
sauvons nos retraites qui fondent et continuent à fondre... L'Etat
et les partenaires sociaux se mettent le doigt dans l'œil en se
bouchant les oreilles !.
[…]
AU
SECOURS : LA CAPITALISATION
Un
fait nouveau est récemment intervenu. Un journaliste des médias
officiels a oser poser à un syndicaliste, Jean-Claude Mailly, la
question dangereuse : la capitalisation ne pourrait-elle pas être
envisagée au moins à titre partiel ? Le syndicaliste l'a balayé en
disant : trop tard.
Ce
trop tard n'est pas vrai. La répartition détruit la richesse au fur
et à mesure qu'elle se crée puisque l'argent est distribué
aussitôt que récolté. La capitalisation crée la richesse par les
investissements auxquels se livrent les gestionnaires soit
directement, soit par des fonds de pension. Il est évidemment
nécessaire que les épargnes contractuelles bénéficient du même
statut fiscal et social que les cotisations dans la répartition. En
refusant la capitalisation, nous arrivons à une situation aberrante
: les grandes entreprises du CAC 40 sont soumises au bon vouloir des
fonds de pension de Californie ou d'ailleurs.
Des
expériences de passage à la capitalisation ont été menées dans
plusieurs pays. Celui du Chili est intéressant. Le passage reposait
sur le volontariat et fut largement suivi. L'influence bénéfique
sur le PIB fut telle que l'on put sans dommage payer les pensions de
ceux qui étaient restés dans le système ancien
UN
AGGIORNAMENTO NECESSAIRE
Les
syndicats détestent la capitalisation et adorent la répartition.
Cela se comprend car le dernier système leur donne perpétuellement
du grain à moudre. Avec la capitalisation, ils pourraient certes
intervenir mais dans un esprit constructif ce qui n'est guère leur
habitude. Le pouvoir actuel étant ficelé par les syndicats va donc
probablement passer à côté de sa chance
Reste
l'opposition. Elle pourrait reconnaître son erreur du passé et
annoncer la capitalisation en cas de retour aux affaires. Ce serait
l'Aggiornamento. Avec une communication adaptée ce pourrait être un
argument électoral massif.
Y-a-il
une opposition ou des fantômes?
La
question est posée.
MICHEL
de PONCINS
[…]
Faucon
le dise quand on est victime de censure indirecte sous un régime de
gauche !.
Faucon
le dise quand Soeur Emmanuelle écrit "les uns ont trop, les
autres pas assez".
Faucon
le dise que la France a cessé d'être une démocratie depuis que le
peuple est exclu des grandes décisions qui engagent la famille, la
vie de plusieurs générations, l'Europe.
Faucon
le dise quand une ministre de la Justice est imbue de sa personne sur
un plateau de télévision [A2, le 5 septembre].
[…]
TWITTER
manque
de transparence !. Le petit
oiseau bleu aurait-il du plomb dans l'aile ? :
oiseau bleu aurait-il du plomb dans l'aile ? :
A
compter de ce vendredi 5 septembre 2013,
Je ne posterais plus aucun commentaire sur
Twitter compte-tenu de son manque d'élégance
à l'égard de ses followers. Si vous voyez un tweet
au nom de alain Février @fiatlux49 etalainzen@patchou49, il ne pourra être le fait
que d'un usurpateur. Si vous souhaitez être un
relais de ces infos, vous pouvez, cordialement
Je ne posterais plus aucun commentaire sur
Twitter compte-tenu de son manque d'élégance
à l'égard de ses followers. Si vous voyez un tweet
au nom de alain Février @fiatlux49 etalainzen@patchou49, il ne pourra être le fait
que d'un usurpateur. Si vous souhaitez être un
relais de ces infos, vous pouvez, cordialement
Google
: Blogspot : Le temps s'arrête pour celui qui admire...
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