Il
a beaucoup d'orgueil, veut faire parler de lui.
Sa
disgrâce s'annonce avec tous ces ennuis.
Contraint
à des réformes, bien que fort décousues,
Imposées
par Bruxelles, c'est sa grande déconvenue.
Toutes
ses désillusions et ses résignations,
Elles
exaspèrent le peuple bercé dans l'illusion.
Un
KRACH monétaire devient inévitable.
Médias
et politiques, pour eux, c'est improbable !.
Alain Février, 30 novembre 2017
Lundi
13 octobre 2008
L'Europe
est le plus grand casino du monde, des milles milliards..!
1700
milliards arrosent désormais les banques européennes dont 360
milliards pour nos seules banques françaises qui, il y a quelques
jours encore, elles n'avaient pas de problèmes de liquidités, selon
Bercy ?.
Les
spéculateurs applaudissent et se frottent les mains jusqu'au
prochain krach financier ?.
Nous,
citoyens français et européens, nous subissons déjà la chute de
notre pouvoir d'achat et la récession économique. Nous allons nous
enfoncer dans le chômage, le surendettement des ménages,
défaillances de remboursement des prêts immobiliers Et, si par
malheur, ce gigantesque montage financier échouait ...?.
Une
loi de finances qui pèsera lourdement sur les épaules des
contribuables et sur les générations futures pendant des dizaines
d'années. Est-ce bien raisonnable ?. Et si on relisait Monsieur
Maurice ALLAIS en cette période de krach financier.
Tous
ceux qui sont intéressés par l'avenir de notre pays et celui du
monde.
Maurice
Allais, éminent défenseur de l'économie mathématique, Professeur
d'économie générale à l'E.N.S des mines de Paris, auteur de très
nombreux articles et études sur la simplification de la fiscalité...
Nos dirigeants politiques seraient bien intentionnés de relire les
nombreux traités de ce visionnaire émérite en matière d'économie
politique, particulièrement « A
la recherche d'une discipline économique – Abondance ou misère –
Economie et intérêt – L'Europe unie, route de la prospérité ».
Herald
Tribune, 19 octobre 1988, traduction :
«
Les recherches de Mr ALLAIS concernant les monopoles d'État sont
toujours valables, malgré la tendance actuelle de privatisations,
notamment en France et en Grande Bretagne »...
En
1947, il publie « Économie et intérêt » (réédité en 1998 par
les éditions Clément-Juglar) livre qui traite du problème de
l'intérêt. Il n'y perd jamais de vue les deux faces inséparables
de l'intérêt : le montant qu'un prêteur doit recevoir pour
renoncer à la liquidité que lui procure la monnaie, le prix que
prennent en compte investisseurs et épargnants pour déterminer leur
demande et leur offre de capital.
Il
considère que la planification économique peut également être un
élément conduisant à une situation d'équilibre et d'efficacité
maximale. De même, il prend conscience dans les années 1966-1967,
au regard de l'observation empirique de l'économie, des limites de
l'hypothèse de l'équilibre général. Pour les dépasser, il a
recours à la notion de surplus et est d'ailleurs à l'origine de la
théorie générale des surplus.
Ses
idées, notamment sur la croissance, ont souvent été reprises par
d'autres. Ainsi, il a introduit la « Règle d'or » attribuée à
Phelps, qui postule que le taux d'intérêt réel le plus favorable
est celui qui se rapproche le plus du taux de croissance. Il a
également démontré l'existence d'une situation de « maximum
maximorum » assurant l'existence d'un revenu réel maximum par
habitant pour un régime permanent de croissance. Dans son ouvrage «
Économie et intérêt », il a introduit la notion de prise en
compte des générations futures dans la détermination de l'optimum
économique. Enfin, il a apporté sa contribution à la théorie du
risque en analysant le comportement des agents économiques ayant à
choisir entre différents risques. Un des exemples qu'il utilise est
resté célèbre sous le nom de « paradoxe d'Allais ». Il montre
que le choix rationnel n'est pas forcément celui qui offre la plus
forte probabilité de gain, car le choix tient compte des
comportements des autres agents économiques.
Il
a aussi défendu l'idée que « l'indexation générale de toutes les
dettes en valeur réelle » est une condition de l'équité mais
aussi de l'efficacité. Ce n'est que si le prêteur est assuré de ne
pas être spolié par l'inflation et donc de retrouver la valeur
réelle de son capital que les taux d'intérêts seront faibles.
Maurice
Allais pense, par ailleurs, que l'exubérance des marchés financiers
est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des
autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une
vigoureuse réforme du système bancaire, la crise financière est
certaine (1999). A la fin de sa vie, il milite contre la mondialisation
des
échanges et il s'est opposé au traité constitutionnel en 2005.
Source
« Présentation de Maurice ALLAIS. ( Né en France en 1911, Prix
NOBEL 1988 ».
Il
y a 50 ans, le Général disait :
«En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer.» Charles de Gaulle
«En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer.» Charles de Gaulle
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