Un
fermier corrézien, véritable visionnaire,
Ne
ménage pas sa peine pour cultiver ses terres.
Les
récoltes sont bonnes et les silos sont pleins.
Des
idées plein la tête, il se voit millionnaire.
Sa
nuit est agitée, il est tombé par terre.
Réveil
au chant du coq, toujours le même refrain.
A
demi éveillé, il aperçoit ses poules.
Il
retrouve ses esprits, la fortune à ses pieds.
Appelle
le charpentier et la coopérative,
Ne
perd pas un instant, il n'y aura pas foule,
A
Tulle et à Ussel, chez tous ces volaillers.
Un,
dix, vingt poulaillers, les pondeuses s'activent.
Les
œufs sont ramassés par tous ses ouvriers,
Il
amasse ses louis d'or. Embauche un responsable.
Qui
l'a rendu frivole, les poulettes de Brive ?.
Lui,
le fermier de Tulle, le riche volailler,
Courtisé
à Paris par une cour de minables,
Il
a son restaurant et sa table pour convives.
L'entretien
d'une basse-cour dans une capitale,
Les
poules sont hors de prix, le portefeuille se vide.
Laisser
ses poulaillers sans aucune surveillance,
Crise
des gallinacées, conséquences fatales,
Mettent
un terme au beau rêve de ce fermier cupide.
Personnel
licencié pour cause d'outrecuidance.
Ce
fermier débauché retrouve son village,
Ses
bâtiments sont vides, il lui reste Colblanc,
C'est
le nom de son âne qui rogne quelques herbes.
Il
appelle Colblanc qui se couche sur le flanc.
Lui
confie à l'oreille, qu'il n'a pas été sage.
Ses
folies parisiennes du boulevard Malesherbes,
Et
toutes ses maîtresses, elles ont brisé sa vie.
Passer
du coq à l'âne, il faut que je te dise
Colblanc,
tu es un âne et mon fidèle ami.
Le
col blanc parisien, souvent il te méprise.
Alain
Février, le 28 janvier 2014
Celui
qui avait dit " Mon ennemi la Finance ",
Il
s'est fait dégagé par manque de prévoyance.
Son
absence de courage contre son entourage,
Elle
l'a fragilisé devant ces agiotages !.
Les
ex-Goldman Sachs ont gangrené l'Europe,
Instances
Européenne, leur kaléidoscope.
Ces
banquiers, ils affament toutes les populations.
En
Marche avec Macron acceptent cette situation.
L'Irlande,
le Portugal, la Grèce et l'Italie,
La
France, la B.C.E., et même le F.M.I.,
Les
pays endettés, ils sont pris en otage.
Facistes
capitalistes, ils les ont mis en cage.
Un
jour, il se pourrait que les peuples se réveillent,
Politiques
et médias sont en cure de sommeil !.
Alain
Février, mardi 14 novembre 2017.
Google
: Blogspot : Le temps s'arrête pour celui qui admire...
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