Merci monsieur Johnny de croire ou ne pas croire,
Votre foi dans la vie, votre carrière le prouve.
Vos chansons populaires graveront les mémoires.
Laïcards intégristes, le peuple vous désapprouve.
À ces mauvais coucheurs qui ont la haine au cœur.
Leur jalousie transpire, il n'y a rien de pire.
Critiques au bord des lèvres, ces gens me font horreur.
Ce genre de personnages, il faut vite les bannir.
Croyant ou non croyant, chacun pense ce qu'il veut.
Oubliez les discours des gens sans foi ni loi.
Ils sont si malheureux, se sent-ils des morveux
Face à cette émotion d'une foule en plein émoi ?.
" Toi mon plus beau Noël que je n'ai jamais eu ",
Confidence de Johnny, l'amour de Laeticia,
Ces détracteurs aigris ne l'ont jamais connu.
Fermez-la pour une fois avec votre charabia !.
La perte d'un être cher, d'un parent, d'un enfant,
Que l'on soit jeune ou vieux, elle touche profondément.
Elle provoque des chagrins, des pleurs interminables.
Nous sommes tous très peinés et tellement vulnérables.
Pourtant, nous le savons que nous les rejoindrons.
Cette absence du grand vide, il faut la dépasser.
Anecdotes, souvenirs, portraits, nous resteront.
Ils nous rappeleront ces bons moments passés.
À nos petits enfants, un jour, ils seront vieux.
Au soir du grand départ, n'ayez pas d'idées noires.
Pères, mères et grands parents, vous ont rendu heureux.
Ils se sont évanouis, mais restent dans les mémoires.
Il ne faut pas être triste, la vie, elle se poursuit.
Faites en sorte qu'elle soit belle, amoureuse, passionnée.
Nous sommes les prisonniers de ce monde qui reluit.
Ces querelles de chapelles sont pour les âmes damnées.
Alain Février, zen-fiat lux !, samedi 9 décembre 2017
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