Les pleins et les déliés pour écrire un courrier appartiennent au passé,...

Le vingt-et-unième siècle bouscule nos traditions.

L'éthique et la morale, elles sont tombée à l'eau !.

Nos élites nationales sont en contradiction ;

Défendent leurs intérêts, agissent sous le manteau.

La bourgeoisie chrétienne serait si généreuse !.

Elle paye difficilement ses employés de maison.

Aux sorties des églises, éditions religieuses

Elles étaient proposées par des chrétiens patrons.

Les classes populaires, elles sont plus solidaires.

Tout dans la discrétion, elles donnent au quotidien,

Leurs croyances et leur foi, pas des paroles en l'air.

Nul besoin de prouver que l'on soit bon chrétien !.

Députés, sénateurs, énarques, fonctionnaires,

Ces bourgeois parisiens renient leurs origines.

Enfants de paysans, de révolutionnaires,

Tous leurs petits-enfants ont un cerveau en ruine.

Encrier, porte-plume ont un goût d'amertume.

Les pleins et les déliés pour écrire un courrier

Appartiennent au passé, à nos us et coutumes.

Nos jeunes générations utilisent un clavier.

Génération accro aux produits connectés :

Relier un timonier à une ronde et un joug,

Atteler une paire de bœufs, travail du charretier,

Ils n'imaginent même pas ce travail de fous.

La mondialisation et ses spéculateurs

Se moquent des traditions, de toutes les religions.

L'Allemagne et Bruxelles en sont les prédateurs.

États de zone euro acceptent cette soumission.

Toutes ces technologies ont de l'emprise sur nous.

Le paraître, l'éphémère, toutes ces choses futiles,

Elles envahissent la vie de chacun d'entre nous.

Chacun peut constater ses achats inutiles !.

Alain Février, vendredi 6 janvier 2017

«..Autant dire que l’Euro n’a pas été créé pour servir les Etats européens, mais bien l’unification forcée de l’Union européenne. Et maintenant que l’Euro connaît ses premières difficultés, il faudrait selon Jacques Delors, sacrifier les Etats et le peu d’autonomie qui leur reste pour sauver l’Euro. Si la monnaie a plus d’importance que l’Etat, autant adorer le veau d’or !... »