lundi 18 septembre 2017

" À l'impossible, nul n'est tenu". Chaque nation a ses lois. La France, elle a les siennes.

Beaucoup nous ont quitté, personne à Pôle Emploi !

À l'impossible, nul n'est tenu,
À chaque jour suffit sa peine ".

Inouïe cette vision d'une France jupitérienne,
Députés macronistes vivent dans l'anachronisme.
Exigent la transparence et ferment les persiennes,
Ni de droite, ni de gauche, tous soumis au charisme.

On accable les faibles pour faire plaisir aux forts.
Ils seraient des fainéants, ils auraient tous les torts.
Cet horrible chantage attise toutes les haines.
Capitalisme en Marche fustige Marine Le Pen.

Les anti-macronistes récusent leur cynisme.
La marchandisation du ventre de la femme,
Elle est inacceptable ; c'est de l'esclavagisme.
Conception d'un enfant récuse l'esprit système.

L'hypocrisie ambiante du monde capitaliste,
En France et en Europe, dans un monde virtuel,
Elle n'est qu'un simulacre pour ces apologistes.
L'injustice se développe d'une façon très cruelle.

Les coutumes et les lois sont l'ouvrage des peuples.
Chaque nation a ses lois. La France, elle a les siennes.
C'est une absurdité de se montrer aveugle.
L'Europe veut imposer les règles qui lui conviennent.

Où est le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ?.
Chaque peuple n'accepte plus l'influence étrangère.
Son régime politique, son pouvoir suprême,
et sa souveraineté, ils peuvent parfois déplaire.
Alain Février, lundi 18 septembre 2017


" Les hommes d'Etat vivent au jour le jour, tous les événements les surprennent, et les problèmes qu'ils s'efforcent de résoudre sont ceux de la veille ou de l'avant-veille, qu'ils n'ont d'ailleurs pas encore compris " extrait de " Une rose au paradisde René Barjavel

"...Attention, je ne suis pas en train de prôner le dévergondage sexuel. L'actuelle « libéralisation » des mœurs dont est victime notre jeunesse me paraît désastreuse. Coucher avec les copains ou les copines comme on boit un Coca-Cola, c'est là, justement, assouvir un besoin ou obéir à un instinct, comme on assouvit sa soif ou sa faim. Non seulement l'amour n'est pas présent, mais le désir non plus. Et même pas la liberté, car ces rencontres sont le plus souvent le fruit de décisions rapides, du " je-veux-faire-comme-les-autres ", des circonstances, du hasard, et bien rarement d'un choix...." 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire