La
Franciade de Ronsard, Regrets de Du Bellay,
Au
vingt-et-unième siècle, nouvelle Pléiade renaît
Quand
on sait plus quoi faire pour se tirer d'affaires,
On
devient les esclaves d'une monnaie fiduciaire !
Europe
de l'impuissance devant cette violence
France
est en pénitence et cache sa souffrance.
Au
manque de cohérence, s'ajoute l'indifférence
Envers
les gouvernances qui fixent leurs exigences.
L'Europe
est sur ses fins ; elle divise les siens.
Bien
malin qui peut dire quand sonnera la fin.
Mirage
politicien, rêve de Babylonien,
Les
peuples sont aux mains d'une bande d'aigrefins.
Jules
Renard et son « mieux n'est que l'ennemi du mal »,
«
Quand je ne pense qu'à moi,., je ne pense à personne »,
Vise
les faux repentis qui n'ont aucune morale,
Aujourd'hui
patriotes, demain germanophones !.
Gouvernement
Français s'attribue des succès.
Tous
ses communicants affirment très souvent
Une
victoire assurée. Ils oublient les après !..
À
Notre-Dame-des-Landes, négligent-ils l'affrontement ?.
Qui
sont-ils ces censeurs et ces libres-penseurs ?.
Veulent-ils
nous faire admettre qu'il n'y a rien après.
Serions-nous
imposteurs, croire serait-il un leurre,
Les
croyances ancestrales n'auraient plus d'intérêt ?.
Alain
Février, 20 janvier 2018
14 juillet 2008
Malicieux,
effronté, avec l'air d'un gavroche,
Je
suis un caudataire aux yeux des doctrinaires.
[...]
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: Le temps s'arrête pour celui qui admire...
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