Stade de France, en Seine-Saint Denis, accueillera les J.O.
La
France, elle s'est faite reine dans la Cité des Rois.
Faute
de concurrents, elle gagne sur tapis vert.
Paris,
hôte des J.O., ce n'est pas le Pérou.
L'hystérie
collective, parisienne de surcroît,
Fait
preuve d'optimisme devant toutes ces chimères,
Les
créations d'emplois, la maîtrise des surcoûts... !.
Jeux
Olympiques, cadeaux, pour bobos parisiens,
Journalistes
assistés, ils en feront des tonnes.
Paris,
les politiques et tous leurs béotiens
Me
pardonneront-ils mes railleries bouffonnes ?.
Qui
va payer la note, les français provinciaux.
Souvenirs
d'Alberville, Jean-Claude Killy, Barnier,
J.O.
paieront les Jeux, serions nous des blaireaux ?.
Organiser
des Jeux, budgets vont explosées.
Paris
n'est pas la France, décide sans consensus.
La
France est en faillite ; elle n'a plus aucune marge.
Pour
financer ces Jeux, trouvez donc des crésus.
Les
dérives financières qui les prendront en charge ?.
L'énarque délégué, interministériel,
Supervise
ces J.O. en matière de dépenses.
Cette
désignation de l'homme providentiel,
Il
mettra-t-il un frein à toutes les appétences ?.
Alain
Février, jeudi 14 septembre 2017.
" Le temps s'arrête pour celui qui admire "
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