mercredi 15 février 2017

Le bon sens populaire, lui n'est pas aliénable.

Libération, l'Express aux magnats des médias,
Quid de l'indépendance, sont-ils influençables ?.
Ne soyons pas naïfs face à ce charabia.
Le bon sens populaire, lui n'est pas aliénable.

Artistes, saltimbanques, humoristes sans humour,
Ils critiquent la police et devancent la Justice.
Soutiennent les dealers, fournisseurs de leur cour.
Ils se prennent au sérieux avec un brin de malice.

Leurs revendications, «respect et vouvoiement» ;
Tutoiement interdit pour tous les policiers,
Le culte du « Nique ta mère » en guise d'argument,
Ce langage habituel foisonne dans les cités !.

Ils s'efforcent de rire de toutes leurs balourdises.
Seraient-ils formatés à la stupidité ?.
Quand ils font de l'esprit, c'est une grande surprise !.
Tous ces «enfants terribles» sont une calamité.

Alain Février, mercredi 15 février 2017


A ces victimes d'un priapisme,
Qui pratiquent l'autoérotisme,
Pour une fois, soyez raisonnable,
Garder pour vous, vos enfilades.

Voilà toute la subtilité,
D'un langage trop aseptisé,
A force de chatoyer les mots,
Il apparaît de nouveaux maux.
Partouze et hard en partie fine,
La dialectique, elle fait grise mine.
Il faudrait donc tout enrober,
Pour en cacher la gravité.
Le journalisme, dans la déprime,
Adopte l'universalisme.
« Charlie » symbole du terrorisme,
A fait la Une sur internet,
Et les médias prennent le relais.
Précision du vocabulaire,
C'est un principe élémentaire.
Trouver l'expression adéquate,
Supprimerait de nombreux couacs.
Alain Février, le 16 février 2015


République sélective, Démocratie Communautaire, Confiscation des pouvoirs par l'UMPS, Vive la chienlit, Vive LA FRANCE !!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire