dimanche 5 mars 2017

Ce Dimanche 5 mars 2017, La Monarchie libérale de Juillet a été restaurée Place du Trocadéro !.


« Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon. »
Michel Audiard.
Ce Dimanche 5 mars 2017, La Monarchie libérale de Juillet a été restaurée Place du Trocadero !. Les bourgeois de Paris, les barons UDF-RPR-UMP-LR, ils sont venus soutenir la famille de François Fillon, son épouse, ses enfants, employés par la République !.

Mise en garde de Condorcet "Tant qu'il y aura des hommes qui n'obéiront pas à leur seule raison, qui recevront leur opinion d'une opinion étrangère, en vain toutes les chaînes auraient été brisées, le genre humain n'en resterait pas moins partagé en deux classes : [...] celle des maîtres et celle des esclaves".

La cinquième République, ses principes sont bafoués.
L'éthique et la morale, elles sont mises de côté.
Le présumé coupable parle au nom de la France !.
Son troupeau de bourgeois tolère toutes ces outrances.

À l'image d'un Europe entièrement sclérosée,
Qui a vendu son âme à une banque centrale ;
L'État s'est liée les mains, le peuple est abusé.
Allemagne et Luxembourg sont sur un piédestal.

Français sont sous tutelle d'une Europe corrompue.
Ses politiques cupides n'ont plus leur mot à dire.
La France s'est empêtrée dans un murmure confus.
Son Éthique, sa morale, ses valeurs, elles expirent.

Quand la morale Fillon aura touché le fond,
Ses amis politiques tourneront les talons.
Ils rejoindront en chœur, le financier Macron
Ce clone de l'Élysée, un nouveau fanfaron.

Une famille toute entière aux frais d'une république,
C'est un abus de pouvoir, une faute inexcusable.
Le pire dans ce scandale, un plaidoyer cynique,
Un appel pathétique à l'opinion publique !.

La France est en faillite, le peuple serait coupable.
C'est bien je-m'en-foutisme, c'est une fuite en avant.
S'accrocher au pouvoir, affaire inextricable,
Le front républicain, il est agonisant.

Pris la main dans le sac, cet homme que fait-il ?.
Il lance un cri d'alarme, accuse la terre entière,
Tance les institutions, se regarde le nombril.

Manifester pour lui, y'a pas de quoi être fier !.
Le Général de Gaulle est un précurseur de la crise politique ?

Mémoires t. III" ......Tel est à mes yeux le principal motif des mesures de nationalisation, de contrôle, de modernisation, prises par mon gouvernement. Mais cette conception d'un pouvoir armé pour agir fortement dans le domaine économique est directement liée, à l'idée que je me fais de l'Etat. Je vois en lui, non point, comme il l'était hier et comme les partis voudraient qu'il le redevienne, une juxtaposition d'intérêts particuliers d'où ne peuvent sortir jamais que de faibles compromis, mais bien une institution de décision, d'action, d'ambition, n'exprimant ou ne servant que l'intérêt national. Pour concevoir et pour décider, il faut des pouvoirs, ayant à élire à leur tête un arbitre qualifié "

Dans un discours des années 60, le Général nous révélait une analyse politique d'actualité :

"… Au caractère fractionnel des partis, qui les frappe d'infirmité, s'ajoute leur propre décadence. Celle-ci se cache encore sous la phraséologie. Mais la passion doctrinale, qui fut jadis la source, l'attrait, la grandeur des partis, ne saurait se maintenir intacte à cette époque de matérialisme indifférente aux idéaux. N'étant plus inspirés de principes, ni ambitieux de prosélytisme, faute de trouver audience sur ce terrain, ils vont inévitablement s'abaisser et se rétrécir jusqu'à devenir chacun la représentation d'une catégorie d'intérêts. Si le pouvoir retombe à leur discrétion, il est certain que leurs dirigeants, leurs délégués, leurs militants, se mueront en professionnels faisant carrière dans la politique. la conquête des fonctions publiques, des postes d'influence, des emplois administratifs, absorbera désormais les partis, au point que leur activité se déploiera essentiellement dans ce qu'ils nomment la tactique et qui n'est que la pratique du compromis,parfois du reniement. Etant tous minoritaires, il leur faudra, pour accéder aux postes de commande, les partager avec leurs rivaux. D'où cette double conséquence que, vis-à-vis des citoyens, ils iront se démenant et se déconsidérant, et que la juxtaposition constante, à l'intérieur du gouvernement, de groupes et d'hommes opposés ne pourra aboutir qu'à l'impuissance du pouvoir..."

"...Quant au pouvoir, je saurais, en tout cas, quitter les choses avant qu'elles ne me quittent."
Oublier trop souvent référendum bafoué,
Citoyen devenu prisonnier de l'Allemagne,
Enfreindre des traités qui lui sont imposés,
Populistes récusent restauration du bagne.

3 commentaires:

  1. Le Général de Gaulle était certes un visionnaire, et il avait bien pressenti ce que deviendrait la France après lui. Ayant un jour reçu François Mitterrand,chef de file des socialistes, il lui avait dit: Monsieur Mitterrand, vous êtes un politicien. Il en faut." Ce qui était dans sa bouche l'expression du plus parfait mépris. Par la suite il avait aussi qualifié la plupart des élus des divers partis politiques de "politi p'tits chiens" et c'est exactement le qualificatif qu'on peut leur appliquer maintenant.Il n'y a plus ni dignité, ni honneur, ni sens de la patrie, ni sens du devoir envers la nation.

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    1. Vrai! Mitterand à commencé à détruire la France, puis Giscard en 1975 a laissé venir les Algériens, la France qui était une grande nation s'est dégradée peu à peu jusqu'au triste résultat actuel!

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    2. La presse belge est-elle vraiment indépendante du pouvoir politique ?.
      La commission Européenne a été dirigée par le Luxembourgeois, Jacques Santer, en 1999. Celle-ci avait démissionnée, en bloc, pour fraude et népotisme !.
      En 2015, le commissaire européen Belge, Louis Michel, aurait détourné plus de 300 000 000 d'€uros !.
      Quand on sait que le président actuel de la Commission Européenne, Jean-Claude Juncker, ministre Luxembourgeois des finances, il sort du même sérail que Jacques Santer, Whaou !!!.

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