vendredi 31 mars 2017

Souveraineté monétaire : Un franc = un Euro, tout ceci est possible...

Programme Marine Le PEN ne serait pas crédible,
Pourquoi me direz-vous, la faute à ces médias ?.
Ils raisonnent en euro. Ils sont incorrigibles.
La valeur de l'euro paralyse les États.
Euro sous-évalué par rapport au dollar
Sauf pour le Portugal ou même la Slovénie.
La France en a souffert, se réveille sur le tard.
Plus de planche à billets, finances à l'agonie.

Programme «Au Nom du Peuple», il est le plus crédible.
Il a été pensé pour un retour au franc.
Euro égale un franc, tout ceci est possible,
Une monnaie nationale pour reprendre son rang,
C'est la seule solution pour une nouvelle croissance.
Même valeur de l'euro dans dix-sept États membres,
Elle est à l'origine d'une violente concurrence.
L'Europe du moins-disant, c'est facile à comprendre.

Cette monnaie unique conduit à la faillite.
L'Allemagne, le Luxembourg, les États les plus riches
Ce sont les fossoyeurs de la France, l'Italie,
Beaucoup d'autres pays sont victimes de cette triche.
Qui sont-ils ces voyous, ces financiers cyniques ?.
États ou actionnaires de fonds anglo-saxons
Ils sont les responsables de cette fin tragique.
Ces politiques coupables méritent une grosse sanction.

Souvenirs deux mille cinq et Versailles deux mille huit,
Parlementaires Français ont trahi le scrutin.
Le vote des électeurs a été éconduit.
Ils sont les responsables de la France du déclin.
Changer le résultat d'un vote majoritaire,
Ce n'est pas tolérable dans une démocratie.
Ils ont tué la confiance, l'électeur doit se taire.
Il n'a pas d'autre choix, l'Europe monocratie.
Alain Février, vendredi 31 mars 2017

Au "défunt" Front Républicain, aux partis politiques passés et présents qui ont conduit la France au chaos, voilà un extrait (2013), très clair, du programme du Front National sur "l'avenir" de votre Europe.

Analyse

« L’Europe sans les peuples
La construction européenne a souffert dès sa naissance « d’un déficit démocratique ». Dans le but initial de la mettre à l’abri de tout aléa politique pour dégager un intérêt commun européen, la Commission, organe non élu, procure aux technocrates des pouvoirs considérables ainsi que le monopole de l’initiative législative. 80 % au moins des lois et règlements nationaux d’importance ne sont que la transposition de ses normes et directives. Le même despotisme éclairé est appliqué à la Banque Centrale Européenne, dont les décisions monétaires s’imposent aux pays de la zone euro, qui sont devenus, au mieux, unijambistes en matière de politique économique.

L’élection des députés européens au suffrage universel n’a que très faiblement pallié ce manque de démocratie. Ce parlement reste, face à la Commission, doté de faibles pouvoirs. Le traité de Lisbonne a bien créé un droit de pétition à la condition de rassembler un million de signatures, mais la Commission dispose du droit discrétionnaire de prendre ou non en compte leur requête…

L’Europe contre les peuples
La CECA a, in fine, tué la sidérurgie européenne. La politique agricole commune (PAC) a marginalisé l’agriculture européenne. L’euro et l’ouverture des frontières à une concurrence déloyale ont détruit des millions d’emplois industriels, spécialement en France. La BCE a un objectif de lutte contre l’inflation, mais aucun objectif de plein emploi. Dès lors, les gouvernements ont tenté vainement de maintenir le niveau de vie en ayant recours à un endettement massif.

Mais l’interdiction faite aux Etats de se financer auprès de leurs banques centrales a rendu cet endettement coûteux. En France, la charge de la dette sera comparable cette année au budget de l’éducation nationale. La BCE n’a pas le droit de prêter aux Etats, mais elle prête à un taux dérisoire, aux banques, qui re prêtent, beaucoup plus cher, aux Etats!
L’Union européenne, asservie par sa dette et par l’euro, est un instrument au service d’une idéologie ultra-libérale mondialiste et des intérêts du secteur financier. Celui-ci voit la crise comme une formidable occasion de poursuivre à marches forcées la dissolution des nations dans un fédéralisme qui remettra entre les mains d’experts non élus le destin des peuples et donnera aux institutions des ressources suffisantes pour mettre en place un clientélisme.
Alors que les vices de l’euro avaient été dénoncés et son échec annoncé dès avant sa naissance non seulement par le Front National mais par les meilleurs économistes, dont les Prix Nobel Milton Friedman et Maurice Allais, les européistes pensent tirer prétexte de cet échec, qui est leur échec, pour une intégration économique et budgétaire de la zone euro : comme toujours, l’échec d’une politique européenne doit être traité par plus de fédéralisme européen, comme les médecins de Molière traitaient l’anémie de leurs patients par une bonne saignée…

Politiques de tous bord, libéraux, anarchistes,
Ils quittent leurs partis par Culte de la raison.
Cette reconstitution d'un groupe d'hébertistes,
Agite " Le Père Duchesne " réveillé par Macron.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire