Dessin de Jacques Faisant
Programme
des eurocrates, faire barrage au F.N.
C'est
bien le seul parti qui suscite tant de haine.
L'heure
n'est plus aux emphases. Évitons un naufrage.
Cessons
les bavardages. Parlons vrai, sans ambages.
Le
vote Fillon, Macron, n'est pas la solution.
Citoyennes,
citoyens refusons d'être un pion.
Ce
Front républicain défend ses intérêts.
Partis
sans convictions se liguent en secret.
Le
parti socialiste en paye l'addition.
Dans
trois régions de France, il n'a plus de fonctions.
Vous
faites pas d'illusions, ils soutiennent cette Europe.
Ils
n'ont pas d'autres choix. Ils se sont liés les mains.
Ils
trahissent les Français tous ces praxinoscopes.
Ce
sont des ponce-pilates qui s'en lavent les mains.
Le
peuple doit résister à leur résignation.
Il
doit tourner la page aux prochaines élections.
Alain
Février, vendredi 7 avril 2017
Cet
Emmanuel Macron n'a rien de convaincant ?.
Ami
des grosses fortunes, des lobbyistes financiers,
Emmanuel
à Pathos, trop brillant et clinquant,
Il
habille son passé comme tous les finassiers.
Au
"défunt" Front Républicain, aux partis politiques passés
et présents qui ont conduit la France au chaos, voilà un extrait,
très clair, du programme du Front National sur "l'avenir"
de votre Europe.
Analyse
" L’Europe
sans les peuples
La
construction européenne a souffert dès sa naissance « d’un
déficit démocratique ». Dans le but initial de la mettre à
l’abri de tout aléa politique pour dégager un intérêt commun
européen, la Commission, organe non élu, procure aux technocrates
des pouvoirs considérables ainsi que le monopole de l’initiative
législative. 80 % au moins des lois et règlements nationaux
d’importance ne sont que la transposition de ses normes et
directives. Le même despotisme éclairé est appliqué à la Banque
Centrale Européenne, dont les décisions monétaires s’imposent
aux pays de la zone euro, qui sont devenus, au mieux, unijambistes en
matière de politique économique.
L’élection
des députés européens au suffrage universel n’a que très
faiblement pallié ce manque de démocratie. Ce parlement reste, face
à la Commission, doté de faibles pouvoirs. Le traité de Lisbonne a
bien créé un droit de pétition à la condition de rassembler un
million de signatures, mais la Commission dispose du droit
discrétionnaire de prendre ou non en compte leur requête…"
" L’Europe
contre les peuples
La
CECA a, in fine, tué la sidérurgie européenne. La politique
agricole commune (PAC) a marginalisé l’agriculture européenne.
L’euro et l’ouverture des frontières à une concurrence
déloyale ont détruit des millions d’emplois industriels,
spécialement en France.
La BCE a un objectif de lutte contre l’inflation, mais aucun
objectif de plein emploi.
Dès lors, les gouvernements ont tenté vainement de maintenir le
niveau de vie en ayant recours à un endettement massif.
Mais
l’interdiction faite aux Etats de se financer auprès de leurs
banques centrales a rendu cet endettement coûteux. En
France, la charge de la dette sera
comparable cette année au budget de l’éducation nationale. La
BCE n’a pas le droit de prêter aux
Etats, mais elle prête à un taux dérisoire, aux banques, qui
reprêtent, beaucoup plus cher, aux Etats !.
L’Union
européenne, asservie par sa dette et par l’euro, est un instrument
au service d’une idéologie ultra-libérale mondialiste et des
intérêts du secteur financier. Celui-ci
voit la crise comme une formidable occasion de poursuivre à marches
forcées la dissolution des nations dans un fédéralisme qui
remettraentre les mains d’experts non élus le destin des peuples
et donnera aux institutions des ressources suffisantes pour mettre en
place un clientélisme.
Alors
que les vices de l’euro avaient été dénoncés et son échec
annoncé dès avant sa naissance non seulement par le Front National
mais par les meilleurs économistes, dont les Prix Nobel Milton
Friedman et Maurice Allais, les
européistes pensent tirer prétexte de cet échec, qui est leur
échec, pour une intégration économique et budgétaire de la zone
euro : comme
toujours, l’échec d’une politique européenne doit être traité
par plus de fédéralisme européen, comme les médecins de Molière
traitaient l’anémie de leurs patients par une bonne saignée…"
2005
: Les Français
avaient refusé, à près de 55%,
cette EUROPE imposée par les partis politiques installés !.
En 2008, à Versailles, les politiques UMPS
ont bafoué le résultat de ce dernier référendum de 2005.
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